J’ai rencontré Christine Melanson lorsque j’étais étudiante à l’Université de Moncton.

Parles-moi un peu de toi-même

Je m’appelle Christine Melanson. J’ai 25 ans et Je suis originaire de Moncton. Je suis artiste – auteure-compositrice-interprète. Je suis dans les arts à temps plein. J’accompagne aussi des chanteurs et je travaille sur divers projets comme travailler dans les coulisses de spectacles. 

Comment décrirais-tu ton travail pour les gens qui ne connaissent pas ça?

Le monde s’imagine qu’on est souvent en période de création ou sur la scène – toujours en train de travailler cette partie là du cerveau qui est créatif. Mais c’est aussi savoir être bon en business. Je fais beaucoup de business aussi, parce que dans le fonds, mon projet de chansonnière c’est un business j’essaie de promouvoir auprès des professionnels de l’industrie afin de vivre que de ce projet là.

Quels sont tes aspirations pour le futur?

J’aimerais élargir mon cercle de connaissance et d’avoir un réputation plus grande que ce qu’elle est toute suite. J’aimerais jouer à travers le Canada et en Europe. Je commence yink, je ne suis pas encore très connue. C’est une up-hill battle, puis j’ai hâte que la butte soit un peu moins haute. Dans les prochains 10 ans, j’aimerais pouvoir jouer à la Place des Arts à Montréal, j’aimerais jouer au Shenkman Arts Centre à Orléans. En générale, de jouer dans des belles salles à travers le pays.

As tu des projets qui vont être dévoilé bientôt?

Oui, je travaille sur un album tout de suite, ainsi qu’une mise en scène de spectacle conjointement. J’essaie de créer un projet complet où l’album va s’inspirer du spectacle, et le spectacle va s’inspirer de l’album. J’essaie de faire un spectacle qui va vraiment avoir un début, un milieu et une fin, qui va avoir un gros flow à travers le tout. Clairement, ça va être un spectacle de mes chansons, mais je veux aussi qu’il y ait des envolés de théâtre ou de poésie pour propulser le spectacle. Je voulais me pousser artistiquement le plus possible. J’aurais pu faire ce que tout l’monde fais – lancer un album et faire un spectacle normale. Mais là où je suis rendue, j’aime beaucoup me lancer des défis, ça faisait juste du bon sens de me lancer dans ce bout la.

Comment balances-tu ta vie personnelle et ta vie professionnelle?

C’est très difficile parce que la ligne n’est pas très défini. Beaucoup de mes amis sont aussi mes collègues. On va se ramasser au bar et on va continuer de parler business. Quelque chose que j’ai appris c’est de moins me mettre d’attentes par rapport à moi-même. Ça m’a aider à baiser mon niveau de stresse et j’ai moins l’instinct de “fight or flight.” Depuis mon burnout, j’ai appris à prendre les choses plus lentement. J’ai aussi appris à être plus à l’écoute de mon corps aussi. Lorsqu’il est temps de prendre une pause du travail, je vais appeler des amis ou ma famille et faire du temps pour cela.

Quel est l’un des plus grands défi auquel tu as du faire face?

Il n’y a pas un grand défi. Il y a souvent, dans l’industrie, du monde qui vont te dire non et te dire pourquoi tu n’est pas assez bonne. J’ai des amies qui se sont faire dire qu’elles n’étaient pas assez bonnes parce qu’elles n’avaient pas les cheveux longs, ou parce qu’elles ne portaient pas des robes. C’est vraiment difficile d’entendre ça. D’un point de vu professionnel, les personnes qui me disent non dans la communauté qui n’ont pas des bonnes intentions m’affectent moins qu’au début. Au début, je cherchais l’approbation de tout le monde. Maintenant je cherche seulement cette approbation des gens qui sont en position de jury, qui vont me donner des opportunités de jouer, qui vont m’aider dans la carrière. Ces personnes là sont présenté avec plein de différentes candidatures qui sont au même niveau que moi dans ma carrière, et ils me jugent pour la personne qu’ils croient que je suis. C’est encore difficile. Je donne de l’importance aux opinions des gens qui sont dans des marché que j’aimerais percé. En Acadie, je connais plus ma valeur. Si ya quelqu’un me dit non, je vais dire c’est pas grave, ya 20 autres personnes qui m’ont me dire oui. Dans le fonds, ça devrait être ça mon approche partout. Mais c’est les bas qui sont le plus grand défis. Tout le monde vis dans hauts et des bas. 

Qui est-ce qui t’inspire?

Les personne qui m’inspirent sont des gens qui sont unappologectically eux-mêmes, qui laissent pas les autres les affecter. J’admire quelqu’un qui travaille fort sur leur art. Même si j’aime pas le style ou le genre, c’est la façon que quelqu’un traite leur art qui m’inspire.

Comment peut-on te rejoindre/te trouver en ligne?

J’ai un site web, une page Facebook et je suis sur Instagram.